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Registo de autoridade

Etudiants d'Aix-Marseille Université (enquêteurs)

Au moment de la crétation du corpus, Anne Roche était professeure de littérature à l'université de Provence (devenue Aix-Marseille Université) et Marie-Claude Taranger, professeure de cinéma dans la même institution.

Augiéras, Marcel

  • FRBNF13009648
  • Pessoa singular
  • 1883-1958

Marcel Augiéras est un officier et explorateur français. Servant dans les Compagnies sahariennes, qui tiennent des postes, effectuent des patrouilles et des reconnaissances en fonction des évènements dans la région de la Saoura, du Touat, du Menakeb, de l'Iguidi, il commandera successivement une reconnaissance dans l’Erg Chech (avril-mai 1914), une dans les Eglab (mars-mai 1915), puis il tentera une entrée dans le Tanezrouft (février-mars 1916). Il parvient à dresser une carte du Sahara occidental au 1/500 000 (1919) qu'il complète en 1923 après une traversée du Sahara occidental de Béni Abbès à Podor (octobre 1920-mars 1921). L’expédition Augiéras, avec son co-équipier, le riche américain Draper, en 1927 et 1928, est demeurée célèbre. Théodore Monod, naturaliste, accompagne cette mission de la première traversée du Sahara, via le Hoggar. Le professeur Théodore Monod doit au colonel sa passion pour le désert. Oncle de François Augiéras, il était membre de l'Académie des Sciences d'Outre-Mer (1953). A sa retraite il se retire à El Goléa où il expose dans un musée les objets qu’il a collectés et des trophées de chasse.

IREMAM

Colin, Georges , Séraphin (1893-1977), (fonds), Aix Marseille Université, CNRS, MMSH USR 3125, 13094, Aix-en- Provence, France. Médiathèque

Georges séraphin Colin, Consul général et orientaliste. Diplomé de l'Ecole Nationale des Langues orientales en 1914 ( arabe littéral, arabe oriental, persan, turc, abyssin et malais), il est appelé au Maroc par le général Lyautey et détaché de l'armée en 1918 comme interprète auxiliaire au Service de Renseignements. Entre 1919 et 1921, il est envoyé à l'Institut Français d'Archéologie Orientale du Caire. Mis à disposition du Protectorat au Maroc en 1921, il commence une carrière aux Affaires étrangères, carrière qu'il poursuivra, hors cadre, quand il optera pour l'enseignement et la recherche en 1926. En 1927, il est nommé à la Direction d'Etudes d'arabe moderne à l'Institut des hautes études marocaines et à la chaire d'Arabe maghrébin de l'Ecole nationale des Langues Orientales. Successivement chargé de cours, professeur d'arabe moderne, et enfin directeur d'études à l'Institut des Hautes Etudes marocaines jusqu'en 1958, il enseigne comme professeur d'arabe maghrébin à l'ENLO jusqu'en 1963. Entre Paris et Rabat il collabore avec Lévi-Provençal, Henri Terrasse ; il forme des générations d'étudiants et publie des ouvrages pour eux. Dès 1921, il accumule dans un fichier manuscrit un nombre considérable de données linguistiques sur le dialecte marocain. Retraité, il poursuit ses recherches en dialectologie à Rabat où il apporte son concours à l'Institut d'Etudes et de Recherche pour l'Arabisation pour l'exploitation de son propre fichier d'arabe marocain qui y est encore en dépôt. [ D'après A.L. de Prémare et collaborateurs.- Dictionnaire arabe-français, Khartala, p. 2, Claude Lefébure et Alain Messaoudi.- in François Pouillon éd., Le Dictionnaire des Orientalistes, IISMM- Karthala, p. 232. Voir la biographie de Philippe Marçais.- "G.-S. Colin", Arabica, tome XXIV, fasc. 3, sept. 1977 pp. 227-232. Voir aussi les articles d'hommage dans Hespéris Tamuda, XVII, 1976-1977.]

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