Aperçu avant impression Fermer

Affichage de 41 résultats

Description archivistique
Seulement les descriptions de haut niveau
Aperçu avant impression Hierarchy Affichage :

15 résultats avec objets numériques Afficher les résultats avec des objets numériques

Fonds François Viré

  • FRMMSH013_MED_024
  • fonds
  • 1950-1990

Reproduction de manuscrits, copies de manuscrits; notes de travail, préparation de publications; préparation d'édition de manuscrits, correspondance; notes sur activités associatives d'ornithologie.

Viré, François

Papiers Marijane Molé

  • FR BULAC IEIMI ARCH.MOLÉ
  • fonds
  • c. 1960?

Marijane Molé (1924-1963)

Fonds Alphonse Nicolas

  • FR BULAC IEIMI ARCH.NICOLAS
  • fonds
  • 1860 - 1939

Le fonds Alphonse Nicolas rassemble une partie des papiers personnels d'Alphonse-Louis-Marie Nicolas (1864-1939), diplomate, traducteur de persan et spécialiste du Bâbisme comme de l'Islam chiite.
Les papiers contenus dans ce fonds concernent d'abord sa carrière intellectuelle, avec des brouillons de livres, quelques exemplaires de ceux-ci, des travaux personnels et des traductions, documents touchant surtout au Bâbisme mais aussi au Bahaïsme, à l'Islam chiite, au Chéïkhisme et à la société iranienne de son temps. Les deux principaux intérêts - a priori - des documents touchant au Babisme sont d'une part la présence parmi eux de traductions inédites, provenant pour certaines de manuscrits rares ayant appartenu à Alphonse Nicolas, mais aussi la quantité de textes polémiques : accusations contre le Babisme par des Iraniens chiites et des Européens sceptiques d'une part, et défense du Babisme par Alphonse Nicolas, contre ceux-là mais aussi contre des Bahaïs qu'il accuse d'avoir dégradé le message du Bâb, et réduit l'importance de sa figure dans leurs croyances.
On y trouve aussi des papiers relatifs à sa carrière de diplomate à Téhéran, Tabriz - où il fut consul de 1907 à 1916, et donc témoin de la révolution constitutionnelle, de l'occupation russe et de la Première Guerre Mondiale en Azerbaïdjan iranien - Tiflis, Saratov - où il fut emprisonné par les Bolcheviques - et Valence.
La correspondance présente dans le fonds est disparate mais couvre relativement bien la carrière intellectuelle d'A.L.M. Nicolas.
Le fonds comporte aussi une importante collection de journaux et tracts du début du XXe siècle, en persan et pour quelques exemplaires en turc, azéri, arabe et arménien. Beaucoup touchent au mouvement constitutionnaliste (1907-1911) dans le Nord-Ouest de l'Iran.
Enfin, il est à mentionner que se trouvent aussi dans le fonds un certain nombre de papiers du père d'Alphonse Nicolas, Jean-Baptiste Nicolas (1814-1875), consul à Rasht, traducteur et auteur d'un dictionnaire français-persan.

A.L.M. Nicolas (1864-1938?)

Fonds Fatima Al-Baydani-Alzawiya : collecte multisupport autour du patrimoine oral au Yémen entre 1979 et 2015

  • FR-130019801 MMSH-IREMAM-phono-BAYD
  • Collection
  • 1979-2015

Entre 1979 et 2015, Fatima Al-Baydani-Alzawiya s'est consacrée à la collecte du patrimoine culturel immatériel au Yémen. Avec son association "Aydanout", elle a parcouru les 22 régions du Yémen de la Tihama au Hadramaout et de Saada à Aden et à Socotra entourée d’une équipe qu’elle a elle-même formée à la collecte et au traitement des données. Son projet était de collecter le maximum de matière possible sur le patrimoine culturel immatériel, en langue dialectale : chant, comptines, jeux d’enfants, récitation de poésie, danses, cérémonies de mariages… Techniquement, elle a privilégié la vidéo pour documenter ces différents sujets. Ce choix n’était pas le plus simple. Elle n’a cessé d’affronter différents obstacles de terrain : l’interdiction d’enregistrer ou de filmer des femmes, le frein représenté par la présence de matériel moderne, la peur de risquer des problèmes politiques en s’exposant publiquement… Face à ces difficultés, l’enquêtrice a dû utiliser des supports de collecte complémentaires : enregistrements sonores, photographies, prise de notes. Elle a parfois su trouver des alternatives en choisissant de filmer uniquement les pieds d’une danseuse, en s’accompagnant d’un dessinateur chargé de faire des croquis des séances, ou encore en choisissant de faire apprendre par cœur à son équipe des morceaux de littérature orale qui ne pouvaient être enregistrés ou transcrits. Son but était de garder une trace audible et visible dans toutes circonstances. Elle a utilisé les différents matériaux collectés pour mettre en place des actions pédagogiques telles que des ateliers et des spectacle qui ont donné lieu à la création de nouvelles archives également présentes dans le fonds. Elle a financé sa recherche en grande partie avec ses deniers personnels puis a obtenu quelques financements. Ses travaux l'ont amenée à collaborer avec le CEFAS (Centre français d’archéologie et de sciences sociales de Sanaa), le Centre Culturel Français, ainsi qu’avec l’École Normale Supérieure de Paris (ENS). Fatima Al-Baydani-Alzawiya a mené un travail unique au Yémen. Aucun autre chercheur n’avait encore ainsi concentré son regard sur les femmes, et aucune enquête n’avait porté sur l’ensemble du territoire du Yémen. En collaboration avec Jean Lambert, ethnomusicologue et anthropologue spécialiste du Yémen, Fatima Al-Baydani-Alzawiya avait commencé un travail d’archivage sur place, avec le soutien financier du Fonds Social de Développement local et le soutien technique de professionnels français. L’enjeu était de préserver et de rendre ses données accessibles, notamment pour les chercheurs et diplomates de passage au Yémen pour qui Fatima Al-Baydani-Alzawiya et son association étaient devenus une référence. L’objectif était de créer un centre de ressources. Le projet a pris fin en 2011 lorsque la chercheure a dû quitter le Yémen du fait de l'instabilité politique. Elle a déposé l’ensemble des données récupérées à la phonothèque de la MMSH, dans le cadre d’une convention avec le laboratoire IREMAM.

Al-Baydani-Alzawiya, Fatima (enquêtrice, responsable de l’association)

Les Français au Liban depuis 1945, une minorité allogène (entretiens enregistrés auprès de la communauté française en 1975

  • FR-130019801 MMSH-IREMAM-phono-METR
  • collection
  • 1975

Du mois de janvier au mois de mai 1975 auprès des français installés à Beyrouth (Liban), Jean Métral s’investit dans un projet de thèse d’Etat en sociologie, sur le thème "Les français au Liban depuis 1945, une minorité allogène". Il est alors Maître assistant à l’université de Lyon, détaché depuis 1969 à l'École Supérieure des Lettres de Beyrouth (ESL) où il dirige la section de sociologie et d’anthropologie. Il enregistre 71 enquêtes dont 62 ont été conservées. Ses travaux seront interrompus par l’éclatement de la guerre civile au Liban en avril 1975. Pour son travail sur le terrain, Jean Métral est accompagné de Françoise Métral, alors chargée de cours d’anthropologie à l’ESL, et d'Alain Battegay, en coopération auprès de l’Université Libanaise. Ces entretiens s’inscrivaient dans une recherche plus large qui devait articuler trois approches chronologiques. Tout d’abord, une approche quantitative, réalisée en 1974 avec un traitement statistique de 8000 fiches de français inscrits au consulat. Les fiches avaient été transmises à la Direction de la Statistique Libanaise mais leurs bureaux ont été brûlés et les documents ont été détruits. Puis, une approche qualitative (l’objet de ce corpus) a été réalisée, les témoins avaient été sélectionnés à partir des premiers résultats statistiques. Plusieurs catégories socio-professionnelles sont vraisemblablement enregistrées de janvier à mars 1975 : acteurs du domaine culturel, de la communication et des médias, français expatriés travaillant dans le domaine médical ou technico-commercial, directeurs d’institutions françaises... Le troisième axe, qui concernait l’étude des institutions françaises au Liban, n’a été qu’ébauché. Chaque entretien individuel, préparé en amont par l’ensemble des enquêteurs, est mené en présence de deux enquêteurs dont sont relevés, dans les fiches enquêtes, le ou les noms entendus durant l’enregistrement. De fait, chaque entretien individuel se déroule en trois temps. L’entretien débute par une présentation de l’état civil, du parcours et des intérêts qui ont conduit l’informateur à Beyrouth. Ensuite, l’informateur est interrogé sur l’environnement socio-professionnel qu’il fréquente et sur sa représentation des rapports entre la communauté francophone présente dans le pays, la France et le Liban. L’entretien s’achève par un échange moins directif où l’informateur est invité à s’exprimer plus librement sur un sujet abordé pendant l’entretien ou sur un sujet qui n’aurait pas été abordé.

Jean-Métral (1933-2002)

Données anthropologiques sur le Maroc (Sud du Maroc et ville de Fès) issues de l'ANR Colostrum - L'alimentation pré-lactée (don et consommation néonatale du colostrum) : pratiques, représentations et enjeux de santé publique (2013-2016)

  • FR-130019801 MMSH-LAPCOS-phono-ANRColostrum
  • 2015-2017

Le sous fonds des données du Maroc porte sur une aire rurale (Sud du Maroc) et urbaine (ville de Fès).
Pour la ville de Fès, l’enquête s’est déroulée au cours de l’année 2016, suivant le protocole établi collectivement par les chercheurs de l’ANR COLOSTRUM, auprès de 20 mères et 2 pères. Les archives de ce terrain sont constituées de plusieurs types de documents : 22 enquêtes enregistrées, 9 transcriptions des entretiens enregistrés, 3 photographies. Les questions que pose la grille d’enquête se retrouvent à travers l’entretien mais en fonction des témoins et des circonstances, les thèmes ne sont pas toujours développés ni mis dans le même ordre. En général, on retrouve : la première mise au sein, l’allaitement, le récit de l’accouchement et des premiers soins donnés à l’enfant, la nourriture avant la première mise au sein, connaissance du colostrum et description, les relations sexuelles durant la période d’allaitement, la mortalité infantile, le colostrum animal, les frères de lait, les prescriptions coraniques.

L’enquête dans le Sud du Maroc s’est déroulée du 23 octobre au 30 octobre suivant le protocole établi collectivement par les chercheurs de l’ANR COLOSTRUM, auprès de 26 mères et 2 agriculteurs. Les archives de ce terrain sont constituées de plusieurs types de documents : 28 enquêtes enregistrées, 28 fiches descriptives des entretiens, 28 transcriptions des entretiens enregistrés, 31 photographies, 7 documents annexes. Les questions que pose la grille d’enquête se retrouvent à travers l’entretien mais en fonction des témoins et des circonstances, les thèmes ne sont pas toujours développés ni mis dans le même ordre. En général, on retrouve : la première mise au sein, l’allaitement, le récit de l’accouchement et des premiers soins donnés à l’enfant, la nourriture avant la première mise au sein, connaissance du colostrum et description, les relations sexuelles durant la période d’allaitement, la mortalité infantile, le colostrum animal, les frères de lait, les prescriptions coraniques. Dans ce corpus, il s’agit principalement d’entretiens collectif, un ou plusieurs membres de la famille où de l’entourage proche (amie, voisin) sont en général présents lors des enregistrements et interviennent ponctuellement au cours des enquêtes.

Candau Joël (coordonnateur)

Fonds Michel Seurat : enregistrements sonores autour du climat politique et culturel au Liban et en Syrie entre 1979 et 1985

  • MMSH-PHO-SEU
  • Collection
  • 1979 - 1985

Le fonds “Michel Seurat” est constitué d’un ensemble composite de micro-cassettes et cassettes audios datant du début des années 1980 (de 1979 à 1985) alors que le chercheur était rattaché au Centre d’études et de recherches du Moyen-Orient contemporain (Cermoc) - désormais partie intégrante de l’Institut français du Proche-Orient (Ifpo). Il s’agit uniquement d’une partie des archives de chercheur de Michel Seurat, récupérée plus de vingt ans après sa disparition en 1986. Bien que dépourvu d’une cohérence positivement voulue par le chercheur, le fonds témoigne de son fort attachement pour la région du Moyen-Orient, en particulier le Liban et la Syrie. Les entretiens enregistrés auprès de différentes personnalités politiques libanaises et syriennes, ou encore auprès d’informateurs inconnus, font état des méthodes de travail de Michel Seurat, à savoir l’utilisation de la langue arabe comme réel moyen d’investigation et une volonté de se rapprocher au maximum de son “terrain”. Il demeure ainsi un exemple pour les générations de chercheurs arabisants qui l’ont suivi. D’orientation marxiste, il cherche d’abord à comprendre les conditions historiques et les circonstances sociales et économiques pour expliquer les différents enjeux de la région du Levant. Par ailleurs, la dialectique marxiste lui permet aussi de dépasser la prétendue fracture culturelle entre l’Orient et l’Occident, de même que l’analyse purement en termes confessionnels des problèmes politiques du Levant. Michel Seurat se présente ainsi lui-même comme un “chercheur engagé” : un engagement pour une critique scientifique honnête, permettant de présenter sans fards les réalités concrètes du Moyen-Orient, sans chercher à les distordre pour les adapter à une idéologie particulière. Cet engagement est d’autant plus important que la région est à l’époque le théâtre d’une agitation particulière : guerre civile au Liban, montée de l’islamisme politique et répressions en Syrie, sans compter les revers de la résistance palestinienne. On peut ainsi dire que son oeuvre constitue une véritable articulation entre l’engagement politique et la recherche universitaire. Une partie de ces enregistrements a été transcrite pour appuyer deux publications, l’une parue en 1983 sous le pseudonyme de Gérard Michaud (Les Frères Musulmans), la seconde posthume et dont les textes ont été réunis par Gilles Kepel, parue en 1989 (L’Etat de Barbarie).

Seurat, Michel (1947-1986)

"Je vous le raconte volontiers parce qu'on ne me l'a jamais demandé" : récits autobiographiques de Français en Algérie, au Maroc, en Tunisie dans les années 1930 à 1962

  • FR-130019801 MMSH-phono-ROCTAR-2
  • Série organique
  • 1983-1991

Parmi les étudiants qui ont suivi le cours de littérature animé par Anne Roche et Marie-Claude Taranger, certains ont choisi de réaliser des entretiens auprès de témoins qui vivaient en Algérie, au Maroc ou en Tunisie dans les années 1930 ou pendant la Seconde Guerre mondiale. D'autres ont choisi d'interroger ceux qui ont vécu la guerre d'Algérie du côté des soldats du contingent (à la vue de cet ensemble cohérent qui a émergé, les professeures avaient elles-même pris le parti de réunir ces enquête). Les récits des appelés d’Algérie ont leur spécificité puisqu'ils parlent de ce qu'ils ont vu, de ce qu'ils ont vécu, ainsi que de ce qu'ils ont entendu dire, cru ou espéré et parfois de ce qu'ils ont appris depuis, par différentes voies, avec le souci fréquent de distinguer ces différents plans. Notons que l’ensemble « Appelés en Algérie » date de l’année 1990-1991 au cours de laquelle les enseignantes avaient spécifié aux étudiants d’enregistrer ce type d’informateurs. Or, nous avons choisi de regrouper dans le même corpus tous les récits autobiographiques enregistrés auprès de témoins ayant vécu dans un pays du Maghreb entre les années 1930 et 1962, en raison de l’ère géographique commune.

Roche, Anne (commanditaire et enquêteur)

Fonds lithographies arabes

  • OMA_lithos
  • fonds
  • 1857 - 1908

Corpus de lithographies doctrinales chiites en arabe datant de la fin du XIXe siècle et début du XXe siècle (10 titres)

Université Sorbonne Nouvelle-Paris 3, Bibliothèque Orient-Monde arabe, France.

Résultats 31 à 40 sur 41