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"Un épisode du massacre des Babis à Téhéran, octobre 1852"

  1. « Trois lettres écrites par le Prince Kemal ed Dowlé Hind[oustani] en réponse à Djelal-ed-Dowlé ». Cinq fois le même texte, une fois en version manuscrite et quatre fois en version dactylographiée, avec quelques variantes de traduction, de longueur et de commentaires. Une double-feuille manuscrite isolée reproduit une partie du texte. La lettre I-19 précise que le nom de l’auteur est un pseudonyme. Récit du supplice puis de la mort de 400 Babis arrêtés à Téhéran après la tentative d’assassinat de Nassereddin Shah., massacrés par la foule. Le prince Kemal ed Dowle est horrifié du spectacle, mais ne peut pas leur venir en aide. Un commentaire d’Alphonse Nicolas, dans l’une des versions dactylographiées, précise l’origine du texte : « Extrait de l’ouvrage intitulé : « Souri se toug Mektou-i est ki chahzade Kemal-de-din Hindoustani, der djeab djelal-ed-doule, irani ; merkoum dacht, Trois lettres écrites par le Prince Kemal-ed-Dine, Hindou à Djelal-ed-Doule, Persan. Manuscrit de ma bibliothèque – 245 pages à 19 lignes à la page et environ 10 mots par ligne. L’extrait que nous en donnons ici commence à la 14ème ligne de la page 160 du manuscrit. » (non daté.)
  2. « Copie de trois lettres écrites par le prince kemal ed dowle Hindou en réponse au persan Djelal ed Dowlet. » 27 pages dactylographiées. Sans doute une autre partie du livre dont est extrait la traduction précédente, même si aucune référence n’est faite aux bâbis. Lamentation sur l’Histoire de la Perse. La Perse pré-islamique est y décrite comme un paradis qu’auraient anéanti les Arabes, précipitant les Persans dans la corruption et la bassesse jusqu’à cette époque. L’auteur décrit ainsi son livre : « Je voulais expliquer les violences et les tyrannies des Arabes dans cet ouvrage. Tout d’abord il ne pourrait les contenir, même brièvement exprimées. » Réflexions historiques, descriptions géographiques et critique des femmes persanes. Longue lamentation extrêmement dramatique, sur un mode lyrique. Numérotation du livre traduit retranscrite. Texte à mettre en rapport avec les lettres I-19, I-54, dont on retrouve certains passages à l’identique. (non daté.)

Dans une enveloppe intitulée "Chéikhis", incipit : "nommé Ser Qaber Agha s’étend un champ inculte…"

D’une part, un fragment de l’histoire d’un cimetière bahaï à Téhéran, où étaient enterrés un « martyr » bahaï et le neveu du Bâb, et qui fut ravagé par la foule. Commence par « nommé Ser Qaber Agha s’étend un champ inculte… » Mais aussi un fragment de texte lyrique où il est fait l’éloge d’un jeune Arabe, qui a sauvé des bâbis, ou bahaïs, des oulémas. Commence par « une vérité arabe ! » Sans doute à rattacher au IEIMI ARCH.NICOLAS-PI-3-1.

« Vaqayè oul Mimiyè »

Deux fois le même texte. Traduction par A.N d’un récit de Seyyèd Mohammed Housseïn ibn Seyyèd Mohammed Hadi Zévarihi du massacre des Bâbis du Mazandaran. (non daté, événements de 1848-49)

« Sourate révélée à Makou »

Traduction par Alphonse Nicolas depuis l’arabe et le persan du manuscrit A.A. dont il est propriétaire, manuscrit « trente pages à 19 lignes à la page ». « Elle se compose d’un préambule en Arabe et d’un long commentaire en persan […] Elle est adressée à un nommée Ali qui vient voir le Bâb dans sa prison à Makou, accompagné d’un certain nombre de personnes. Cet Ali n’était pas un inconnu pour le Bâb et il ressort de cette sourate qu’il était lié avec quelqu’un qui ne s’était pas fait bâbi. Le Bâb lui ordonne cependant d’envoyer une copie de cette sourate à ce personnage ainsi qu’à un autre qui n’est pas autrement désigné. Cette sourate insiste sur le fait que Molla Hosseïn Bouchrouyehi est le premier croyant. »

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