Traduction d’un ouvrage du Bâb, écrit à Chiraz à l'intention de Yahyah Darabi Vahid. Commentaire de la 108e sourate du Coran. (non daté, texte de 1845-1846)
Traduction par Alphonse Nicolas depuis l’arabe et le persan du manuscrit A.A. dont il est propriétaire, manuscrit « trente pages à 19 lignes à la page ». « Elle se compose d’un préambule en Arabe et d’un long commentaire en persan […] Elle est adressée à un nommée Ali qui vient voir le Bâb dans sa prison à Makou, accompagné d’un certain nombre de personnes. Cet Ali n’était pas un inconnu pour le Bâb et il ressort de cette sourate qu’il était lié avec quelqu’un qui ne s’était pas fait bâbi. Le Bâb lui ordonne cependant d’envoyer une copie de cette sourate à ce personnage ainsi qu’à un autre qui n’est pas autrement désigné. Cette sourate insiste sur le fait que Molla Hosseïn Bouchrouyehi est le premier croyant. »
Lettre du Bâb à Hadji Mirza Aghaci dite Khotbet Qahhariye, dans laquelle il évoque son sort. Écrite vraisemblablement pendant la captivité du Bâb à Makou.
Trois fois le même texte. Rapport du fonctionnaire chargé de la détention du Bâb au Shah, dans lequel il décrit comment le Bâb fut amené à son procès à Tabriz et comment s’est déroulé ce procès.
Deux fois le même texte. Traduction par A.N d’un récit de Seyyèd Mohammed Housseïn ibn Seyyèd Mohammed Hadi Zévarihi du massacre des Bâbis du Mazandaran. (non daté, événements de 1848-49)
Lettre en anglais, dans laquelle l’auteur informe son destinataire de l’assassinat du fils de 8 ans de Mollah Mehmed Ali Zenjani, et du viol de ses femmes et filles, sur ordre de Mohammed Khan. (Tabriz, 9 décembre 1850)
Récit des persécutions de Bâbis à Téhéran, et de la tyrannie d’un gouverneur à Chiraz – pour ce qui est de la demi-feuille. Les deux feuilles sont sans doute liées, bien que ce ne soit pas certain. La feuille double est une autre version d’une partie du texte 9 de ce dossier.
Présentation par N. Bland, sous la forme d’une lettre à M. Garcin de Tacy, du poète persan Massoud Saâd Salman (1046-1121) sur lequel il a travaillé. Couverture en mauvais état. (Paris, 1853)